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1. Les 8 formes de l'intelligence


Les 8 formes d’intelligence de Gardner


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Howard Gardner s’est rendu compte que certaines fonctions du cerveau pouvaient être détruites à la suite de maladies ou de traumatismes sans affecter les autres capacités de la personne. 
Ce constat l’a amené à se pencher sur la notion d’intelligence. Il en découvre ainsi 8 formes différentes :

Pour être efficaces les enseignements ainsi que les évaluations proposés aux élèves devraient tenir compte des 8 formes d’intelligence.
Ainsi, par exemple, un élève dont l’intelligence est plutôt musicale pourra chanter ou rythmer une règle de grammaire pour la mémoriser alors que son voisin dont intelligence est davantage kinesthésique l’accompagnera de mouvements corporels.

2. Le community Manager


  Sur une semaine de 40 heures, un Community Manager consacre environ :
- 7 h 30 à la rédaction web,
- 5 h à résoudre les différents problèmes,
- 4 h à répondre aux mentions,
- 4 h à mettre à jour les comptes sur les réseaux sociaux,
- 2 h 30 à faire de la curation,
- 2 h 30 à analyser les données,
- 2 h 30 à faire de la veille.

Vous avez aussi ce genre de planning ou c'est plus différent ?

Repère de l’information-documentation » Veille et Intelligence économique: quelles différences?

fossoarnaud.unblog.fr

Veille et Intelligence économique: quelles différences?

Veille et Intelligence économique: quelles différences? dans Analyses & Réflexions & Prises de position 4-enquete

Les concepts de veille et d’Intelligence économique (IE) sont souvent confondus par un grand nombre de personnes. Or, il existe une différence entre ces deux notions. Nous nous proposons dans ce billet, d’établir quelques  différences afin d’éclairer la lanterne de plusieurs.

D’un point de vue définitionnel, “l’intelligence économique est l’ensemble des actions coordonnées de recherche, de traitement, de distribution et de protection de l’information obtenue légalement, utile aux acteurs économiques en vue de la mise en œuvre de leurs stratégies individuelles et collectives”. (Rapport MARTRE, publié par le Commissariat général au Plan français  en 1994).

Quant à la veille, elle consiste à collecter des informations stratégiques pour permettre d’anticiper les évolutions et les innovations. (Confère:Lesca, Humbert (2004) Veille stratégique : la méthode L.E.SCAnning, EMS, ISBN 978-2-8476-9015-6). Selon l’Afnor, la veille est une « activité continue en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement technologique, commercial, etc., pour en anticiper les évolutions ». Norme expérimentale XP X 50-053 .

D’un point de vue chronologique, la veille est antérieure à l’intelligence économique, car c’est dans les années 80 qu’on parle de veille en France, contrairement à l’IE qui fera plus écho dans les années 90. Au milieu des années 80, on parlait plus de « veille technologique ». C’est avec du temps qu’il y a eu des précisions: veille juridique, veille concurrentielle, veille marché,…


La différence majeure réside au niveau de leur pratique. En effet, l’ IE est « la prise en compte par l’entreprise de tous les événements extérieurs susceptibles d’interagir avec ses activités. (définition d’Henri DOU). Elle  intègre aussi des opérations de lobbying, des dispositifs de désinformation et s’applique surtout à un niveau macro-économique, au niveau des États. L’intelligence économique intègre deux dimensions supplémentaires par rapport à la veille, que sont:

- d’une part la capacité d’influence, c’est-à-dire l’art d’utiliser l’information afin de projeter son influence sur ses marchés;
- d’autre part la protection du patrimoine informationnel, c’est-à-dire la capacité de l’entreprise à préserver l’information relative à ses connaissances, à ses savoir-faire, à ses choix stratégiques… face aux risques liés à la négligence ou à la malveillance.


Nous comprenons ainsi que l’IE intègre la veille car,
l’Intelligence Économique= veille + protection du patrimoine + actions d’influence alors que,
Veille= collecte méthodologique de l’information.
La veille est donc l’étape de base de l’IE. Elle  » nourrit  en quelque sorte l’IE en lui apportant les informations utiles sur ce qui est en train de changer, ce à quoi il faut s’attendre, etc. », pour parler comme Françoise SIMONOT.

Liens utiles:

http://criton.pagesperso-orange.fr/Veille.htm#Introduction

storify
Afin de faciliter cet assemblage et son éditorialisation, un outil de curation spécifique est employé : il s’agit de Storify. Il permet d’assembler rapidement des contenus de provenances diverses : réseaux sociaux, vidéos, pages web, dont les images, adresses et titres sont automatiquement récupérés, avec la possibilité d’ajouter un commentaire. Storify se distingue par sa capacité à créer des « stories » (histoires) assemblées sur une page (et, logiquement, sur un seul sujet). 
Son interface permet de trouver des ressources à partir de différents outils de recherche (web, Twitter, Youtube). Le résultat peut s’exporter aisément sur un blog (fait avec WordPress) ou un site (fait avec Drupal) afin de l’imbriquer dans une page, comme dans ce cas d’espèce.
Par ailleurs, Storify est lié au réseau Twitter : il offre aussi une facilité de recherche et ce republication des messages échangés sur le réseau Twitter, et nombre de stories sont constitués de relevés d’échanges sur le réseau de micro-blogging.
L’article porte sur un évènement d’actualité des nouvelles technologies qui fait débat : l’opérateur Internet bloque désormais par défaut les publicités sur son réseau. Le journaliste reprend des contenus de différentes natures qui ont en commun de faire évoluer la narration ( informations nouvelles, précisions, prises de position). Si des contenu de type « article » repris par l’auteur sont issus de sites professionnels (Numerama.com,  PcInPact), ils cotoient dans la sélection des tweets envoyés par des journalistes, professionnels du web, mais aussi de personnes dont la qualité n’est pas précisée.

Qu'est-ce que le CLOUD ?

 

Le cloud computing1 est un concept qui consiste à déporter sur des serveurs distants des stockages et des traitements informatiques traditionnellement localisés sur des serveurs locaux ou sur le poste de l'utilisateur2. Selon leNational Institute of Standards and Technology (NIST), le cloud computing est l'accès via le réseau, à la demande et en libre-service, à des ressources informatiques virtualisées et mutualisées3.

Bien que l'anglicisme cloud computing4 soit largement utilisé en français, on rencontre également les francisations informatique en nuage5, informatique dématérialisée, stockage dans les nuages, stockage à distance ou encore infonuagique6.

Ce concept est vu comme une évolution majeure par certains analystes7 et comme un piège marketing par Richard Stallman8 entre autres.

En France, la commission générale de terminologie et de néologie précise que l'informatique en nuage est une forme particulière de gérance de l'informatique, puisque l'emplacement des données dans le nuage n'est pas porté à la connaissance des clients5.

Les utilisateurs ou les entreprises ne sont plus gérants de leurs serveurs informatiques mais peuvent ainsi accéder de manière évolutive à de nombreux services en ligne sans avoir à gérer l'infrastructure sous-jacente, souvent complexe. Les applications et les données ne se trouvent plus sur l'ordinateur local, mais – métaphoriquement parlant – dans un nuage (cloud) composé d'un certain nombre de serveurs distants interconnectés au moyen de liaisons ayant une excellentebande passante indispensable à la fluidité du système. L'accès au service se fait par une application standard facilement disponible, la plupart du temps un navigateur web.

 

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