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Peut-on être condamné pour un «retweet»?

Toujours en manque d'inspiration pour répondre à vos amis Facebook?
Toujours en manque d'inspiration pour répondre à vos amis Facebook?
http://www.zoglu.net/haddock

Par Thomas Bourdeau
Sur les réseaux sociaux on ne peut pas tout faire et il faut parfois même faire très attention. Emmanuel Netter, maître de conférences en droit privé à Amiens, l’explique très clairement, un simple RT (retweet)pourrait même être condamnable s’il comporte une insulte ou une diffamation.

L’action de retweeter consiste à republier une information déjà envoyée par un utilisateur de Twitter. Très souvent, on RT (pour retweeter) des informations qui concernent nos abonnés, ou des blagues que nous trouvons particulièrement bonnes pour les partager. Seulement voilà : alors que sur Facebook on reste entre amis, autour d’une table de convives choisis, dans la sphère du privé, toutes proportions gardées, sur Twitter on partage à tout le monde, on crie sur la place publique. « C’est le retweet (RT) qui fait la puissance et le succès de Twitter, en ce qu’il permet de répandre un message à travers le réseau en quelques secondes : une « force de frappe » médiatique sans précédent », explique le maître de conférences et co fondateur du blog

Un peu de droit. Et on peut se livrer sur Twitter (comme dans les conversations sur les réseaux sociaux) à des débordements, en oubliant qu’on n’est plus autour d’une table entre copains, mais sur la place publique et observables par tous. La caisse de résonance est sans fin, source de confusion et parfois juridiquement engageante... Attention donc en appuyant sur le bouton du RT.
Les débordements sur les réseaux sociaux peuvent se retrouver devant les tribunaux à écouter ici :
 Juridiquement responsables, même d’un RT
Car sur Twitter, les apprentis justiciers ou journalistes se laissent trop souvent aller à des débordements en injuriant ou on diffamant et ce, parfois sans vraiment le savoir.
Nous sommes juridiquement responsables de nos propos (même avec un RT) et notre maître de conférences nous a tout expliqué, c’est à écouter ici et cela a le mérite d’être clair.
Une injure c’est dire qu’untel est « un gros sac à vin ! »
Par définition, une injure est une parole offensante adressée à une personne dans le but de la blesser délibérément, en cherchant à l'atteindre dans son honneur et sa dignité. Une insulte, quasi-synonyme d'injure, est cependant considérée comme une injure moins grave. Et une injure grave peut se transformer en outrage. D’ailleurs en France, selon l'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, « toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait est une injure. » C'est l'absence d'imputation de fait précis qui fait la différence, parfois difficile à apprécier, entre l'injure et la diffamation. 

Car imputer c’est attribuer à quelqu'un ou à quelque chose la responsabilité d'un acte répréhensible, d'un fait blâmable ou fâcheux. Pour être clair, une injure c’est dire qu’untel est « un gros sac à vin ! ». Une diffamation serait de prétendre (d’imputer dirait un juriste) que « ce gros sac à vin a fricoté dans le passé avec des dictateurs peu recommandables ». Et c’est la même chose si vous répétez les propos d’un autre, si vous les retweetez, sans les nuancer ou les désapprouver. Dans le droit, on se doit d’être précis…
Difficile de mettre tout le monde à l’amende On s’est toutefois permis de penser et de suggérer que des injures et des diffamations, il s’en distribuait allégrement à la cantine, machine à café… Et qu’il semble particulièrement difficile de mettre tout le monde à l’amende. Notre maître de conférences est sommes toutes d’accord, et il nous a fort justement rappelés que la Cour européenne des droits de l'homme empêcherait vraisemblablement le juge français de brider trop fortement la liberté d'expression. Il faut ainsi savoir trouver un juste équilibre entre une possibilité de débattre publiquement d'un sujet d'intérêt général et la volonté de lutter contre la calomnie.


Google+ communautés : guide pratique officiel

communaute google plus

Début décembre 2012, la firme Google a lancé le service en ligne Google+ Communautés adossé aux comptes et pages du réseau social Google+. L’entreprise vient de mettre à disposition des internautes une aide officielle : Guide pratique Google+ Communautés librement consultable. Les communautés Google+ se veulent un « espace de rencontres et de partage » en ligne. Ce nouvel outil donne la possibilité de créer des espaces permanents autour de centres d’intérêt :
  • des communautés privées ou publiques qui peuvent être dédiées à des sujets, des centres d’intérêt, des groupes, des activités… ;
  • des catégories de discussion pour aider à y trouver les sujets de conversation qui correspondent le mieux ;
  • la possibilité d’inviter des membres d’une communauté gérée à des « hangouts » (conversations en mode simultané) et des événements ;
  • la possibilité de partager des contenus avec sa communauté depuis n’importe quel bouton +1 sur le Web.
Chaque utilisateur de Google+ peut créer ou rejoindre une communauté dès que l’icône « Communautés » apparaît dans son flux (côté gauche de la page). Les communautés sont amenées à évoluer dans leurs fonctionnalités, annonce par ailleurs l’entreprise américaine.

Contenu du guide pratique officiel Google+ communautés

Le Guide pratique Google+ Communautés propose un mode d’emploi de ce service en ligne avec une découverte en 4 points :

Premiers pas avec Google+ Communautés


Sommaire : Rejoindre une communauté ; Parcourir les communautés suggérées ; Rechercher des communautés.

Créer une communauté Google+

Sommaire : 4 types de communautés ; Qui peut devenir membre ; Qui peut afficher la liste des membres et les posts ; Qui peut trouver la communauté via une recherche ; Une communauté pour… ; Créer une communauté ; Étapes à suivre après avoir créé une communauté (ajouter une photo ; remplir la section « à propos » ; inviter des utilisateurs à s’inscrire).

Gérer une communauté Google+

Sommaire : Conseils pour faire prospérer une communauté (actions utiles, conduite à éviter) ; Créer des catégories pour organiser la communauté ; Nommer des modérateurs ; Pour nommer des modérateurs ; Gérer les posts et les membres.
  • Est-ce que tous mes amis et abonnés peuvent voir les posts que je publie dans une communauté publique ?
  • Comment Google+ Communautés fonctionne-t-il avec les pages Google+ ?
  • Peut-on rendre privée une communauté publique et inversement ?
  • Comment faire pour contrôler le nombre d’invitations à des communautés que je reçois ?
  • Est-ce que chaque communauté doit avoir un nom unique ? Par exemple, si un utilisateur a appelé sa communauté « Basket-ball », est-ce que je ne peux plus utiliser ce nom ?
  • Si je modère un post de façon qu’il n’apparaisse pas dans la communauté, est-ce qu’il est supprimé ?
  • Pourquoi les personnes à qui j’envoie des invitations ne les voient-elles pas ?
  • Comment fonctionnent les notifications dans les communautés ?

Brève présentation de Google+ Communautés

Par ailleurs, il est proposé une brève présentation en une page de Google+ Communautés en abordant 7 points :
  • Rencontrez qui vous voulez
  • Échangez à volonté
  • Approfondissez vos passions
  • Créez des communautés privées
  • Rejoignez des communautés publiques
  • Invitez vos amis
  • Partagez des contenus quand et comme vous le voulez
  • Restez en contact avec vos communautés où que vous soyez

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